La cure Sainte-Croix à Rixensart

Dossier de 2004 à ... ?
Elle est proche de l’écroulement. Après son sauvetage de la vente particulière en 2004, grâce  aussi à notre action ; suivit la procédure judiciaire intentée par un des enfants de Merode (8 ans) et gagnée par la Commune.

Puis suivit sa future intégration dans le bâtiment social de « Notre Maison ».

Enfin il y a le nouvel intérêt pour le rachat par la famille Merode ....

 


La cure Sainte-Croix à Rixensart

Dossier ouvert en 2004.

Elle est prête à s’écrouler. Après son sauvetage de la vente particulière en 2004 suivit la procédure judiciaire d’un des enfants de Merode (8 ans); puis sa future intégration dans le bâtiment de Notre Maison ; enfin le nouvel intérêt de rachat par les Merode… et nous sommes en 2021 !

Un mauvais coup pour le patrimoine.

A notre connaissance, on en est là.4-2019

 


La cure Sainte-Croix à Rixensart

Cette pauvre cure ne tient plus que par les toiles d'araignées. Après des années de stagnation dues à une procédure judiciaire déclenchée par une partie de la famille de Merode, après le projet de reprise par la société de logement Notre Maison et la Commune qui traîna en longueur, ce fut au tour des Merode (qui ont racheté le château) de proposer un possible rachat à la Commune.

A notre connaissance, on en est là.4-2019

 


La cure Sainte-Croix à Rixensart

Cette pauvre cure continue de se dégrader depuis 2005. L' année dernière, nous avons eu des contacts avec la Commune et Notre Maison. Cette dernière avait déposé un projet intéressant d'un immeuble de 11 logements dont la façade est refaite à l'identique de celle existante ainsi que son volume actuel, mais sur l'arrière duquel vient se greffer un nouveau bâtiment.

Là où nous avons émis une objection, ce fut sur l'architecture du prolongement. En effet celui-ci est un cube recouvert de bois et le balcon du deuxième étage ressemble à un tiroir ouvert fort peu esthétique. Sans compter la grisaille du bois peu réjouissante au fil du temps. Il est vrai que ce n'était qu'un avant-projet.

Depuis le début nous avions insisté sur le maintien du portail et l'encadrement des fenêtres. Il est bien prévu de réutiliser le portail Louis XV/XVI en pierre bleue et d'encadrer les fenêtres de briques noires.

Nous venons de contacter la Commune afin de savoir si une suite est donnée actuellement à ce projet. Pour le moment non. Il est vrai qu'en cette année électorale il faut tenir compte du processus des « affaires courantes » avant la mise en place du nouveau Collège.

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Avant-projet Notre Maison   Bureau d’architecture ABR : architecture et urbanisme


La cure Sainte-Croix à Rixensart

En 2005, la Commune s'apprêtait à vendre la Cure. Nous pensions que cette belle maison du XVIIIe devait rester dans le patrimoine communal. A cette époque, elle était encore en bon état, et avait encore été occupée peu de temps auparavant.

Nous fûmes soutenus dans notre action par l'opposition et de plus nous eûmes la chance avec nous d'avoir lors du conseil communal une majorité numérique de l'opposition. Hélas, la propriété de la Commune fut contestée par une partie de la famille de Merode. Résultat, huit ans de procédure judiciaire. Nous sommes en 2016, ce qui veut dire onze ans d'abandon et de déprédation pour ce bâtiment.

Là-aussi nous avons remis ce dossier sur la table. En début d'année, nous proposions quatre possibilités, basées sur le principe de l'emphytéose : mettre une annonce sur Immoweb, partenariat avec le ministère du patrimoine (logements), partenariat public-privé avec un promoteur qui était intéressé, partenariat avec Notre Maison. La commune avait justement pris contact avec cette dernière. Aujourd'hui, cette dernière possibilité a pris forme et devrait aboutir (logements). Le maintien du dessin de la façade (réutilisation des pierres de l'encadrement de l'entrée), de l'escalier et de la cheminée restante (l'autre a été volée), est acquis.

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La cure Sainte-Croix à Rixensart

 

« Petit à petit la cure va vers l’effondrement », disions-nous dans la Note précédente. Cela paraît inéluctable. A nouveau nous avons proposé d’au moins essayer de mettre le bien à disposition sous emphytéose.

A ce jour nous n’avons pas eu de confirmation officielle. Ce sera vraiment dommage de devoir démolir un bâtiment de cette valeur architecturale.

 

Nous lançons un appel à tous nos membres. Si vous avez une solution ou connaissance d’une solution pour sauver la cure n’hésitez pas à nous contacter.

Dire que nous avions réussi, avec l’appui du Conseil communal en 2005, à faire revenir ce bâtiment dans le giron de la commune. 


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La cure Sainte-Croix à Rixensart

Petit à petit la Cure se dirige vers son effondrement.

Nos efforts pour conserver ce patrimoine n'auront, probablement, servi à rien.

La procédure judiciaire intentée contre la Commune par une branche des Merode n'a évidemment pas arrangé les choses.

Mais depuis la décision en faveur de la Commune, plus rien n'a été ni tenté ni entretenu. Nous avons à plusieurs reprises proposé de mettre le bien à disposition sous condition d'emphytéose. Solution acceptable dans l'état actuel du bien.

 

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Il semble que nous voyons apparaître le bout du tunnel dans ce dossier que nous avons initié en 2005, en apprenant que la majorité de l’époque voulait se défaire  de ce bâtiment du XVIIIe siècle.

Nous avons connu l’épisode quelque peu rocambolesque de la vente, finalement annulée. Puis ce fut l’entrée en lice des Merode, récusant à la commune le titre de propriétaire. Un jugement a enfin été rendu, tout dernièrement, reconnaissant à la Commune la propriété du bâtiment.

Ce long délai a évidemment porté préjudice à la conservation de la Cure. Un point semble toutefois faire l’unanimité : la Commune désire conserver ce patrimoine.

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La cure Sainte-Croix à Rixensart

 

Celle-ci continue à se dégrader. Nous pouvons nous demander quand elle deviendra bonne à abattre sauf restauration à grande échelle. La Commune nous a fait part des dernières nouvelles qui sont exclusivement juridiques.

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La cure Sainte-Croix à Rixensartcure1

La lente mais irrésistible dégradation du bâtiment se poursuit. Depuis que nous avions mis en route cette opération de sauvetage, plus rien n’a été ou n’a pu être entrepris. Le blocage résulte du sursaut juridique des Merode-Besancenot, qui ont décidé que ce bien appartenait à la famille.

Le point de la situation à ce jour est le suivant :

- Les Merode ayant instruit une expertise judiciaire en reconnaissance de propriété, l’ont finalement abandonnée. (2008)

- La Commune a, à son tour, demandé une même procédure en 2009

- L’expert mandaté a remis un premier rapport en novembre 2011. Il cite notamment notre collaboration et les documents que nous avions transmis à la Commune.

De novembre 2011 à ce jour, la Commune a encore ajouté 4 pièces au dossier, dont deux lettres, datées de 1965, très éclairantes sur la propriété, et une lettre de 1968 demandant à la Commune d’effectuer des travaux en tant que propriétaire.

La Commune a jusqu’à présent déposé 65 pièces présumant de sa propriété, les Merode 4 documents.

La Commune a également demandé au tribunal de pouvoir procéder à des travaux conservatoires, les frais étant engagés par la Commune et récupérés au cas ou le titre de propriété reviendrait au Merode. En attendant la ruine du bien se poursuit.

Lire la suite : Juin 2011

La cure Sainte-Croix à Rixensart

Malgré les fortes présomptions désignant la Commune comme propriétaire, la situation juridique n’a guère évolué depuis trois ans. Le conflit opposant la Commune aux Merode s’est embourbé. Ce qui est grave est que, laissé à l’abandon, le bâtiment se dégrade continuellement.

Fin 2006, début 2007 un premier jugement accorde aux Merode une expertise judiciaire afin de démontrer leur droit de propriété. A ce jour, ceux-ci n’ont toujours pas diligenté cette expertise. En 2008, avec l’aide du Cercle d’Histoire, Hommes et Patrimoine a remis à la Commune la matrice cadastrale de 1855 où sont reprises les parcelles faisant partie du site de la cure. Il est indiqué qu’elles ne sont pas imposables, leur propriétaire étant la Commune. Cette année, la Commune, se rendant compte de la situation, a décidé de diligenter elle-même cette expertise.

La Cure Sainte-Croix à Rixensart

Après un long moment de stagnation, il semble que le litige, opposant la Commune aux Merode, touche à sa fin. Grâce aux recherches de nos amis du Cercle d’Histoire nous avons communiqué à la Commune un extrait cadastral et un relevé du cadastre d’imposition prouvant la propriété de la commune depuis le XIXe siècle. Cette dernière nous a témoigné une indifférence polie… C’est souvent le cas avec les communes.

La cure Sainte-Croix de Rixensart

Vous vous souviendrez que lorsque la vente de la cure fut acquise, nous avions préalablement rappelé à la Commune qu’on nous avait proposé une possibilité de ré-affectation du bâtiment. Mais nous n’avions reçu aucune réponse. En fait il s’agissait de créer en Brabant wallon un Musée des Enfants, tel que celui qui existe à Ixelles et qui connaît un vif succès, tant par sa conception que par sa pédagogie.

Cette année après plusieurs échanges et rendez-vous, nous avons obtenu du Bourgmestre, que ce projet soit présenté aux membres du Conseil communal. Il est évident qu’il subsiste un problème épineux : la « propriété » de la cure. Personne n’en voulait et maintenant c’est le contraire. Néanmoins si le projet, bien structuré, du Musée des enfants s’avérait positif, nous offririons à la Commune une belle solution pour l’avenir de la cure.

La Cure Sainte-Croix - Rixensart

Notre démarche pour que le bâtiment de la cure reste dans le patrimoine public de Rixensart semblait vouée à l’échec. Après notre série de démarches auprès des conseillers communaux, nous avions obtenu un résultat mitigé, celui d’avoir fait prendre conscience aux représentants politiques de la valeur de ce bâtiment du XVIII e siècle. A une voix près le Conseil communal votait la vente. Celle-ci eut lieu. Bénissons la lenteur des délais administratifs, qui prévoient qu’après une vente d’un bien communal, la commune a un mois pour accepter ou refuser la vente Nos partisans au Conseil communal saisirent la balle au bond, lors d’une séance où ils étaient majoritaires. Entre-temps par négligence, et malgré nos avertissements, la plus belle des deux cheminées avait « disparu ».