EDITO : Michel Wautot 

«  Il faut savoir que les choses sont sans espoir et tout faire pour les changer »

Rainer Maria Rilke

En cette année 2022, nous devons bien constater que peu de dossiers ont été menés à bonne fin.

Il est évident que le Covid continue à perturberbien des choses.

Pour chaque dossier, illustré ci-après, nous vous apportons nos dernières informations.

Nous ne pouvons que déplorer, par exemple, le triste statut quo de la cure Sainte-Croix.

La famille de Merode verrait bien ce bâtiment revenir dansleur patrimoine, mais semblerait ne pas en offrir le prix souhaité par la Commune.

La Commune, dont la Bourgmestre est vice-présidente de la société wallonne du logement « Notre Maison » qui avait pris option sur ce bâtiment, semble hésiter.

La Place de Bourgeois ne bénéficie toujours plus du soutien et du plan de sa réhabilitation que Jean Vanderbecken lui avait apporté.

Les derniers travaux des Papeteries de Genval sont en voie d’achèvement et « Miracle » nous avons pu, après quatre ans de négociations difficiles, implanter 12 panneaux-mémoire.

Autre dossier clos, celui de l’hôtel Normandy.

aussi, cela a duré entre le moment où le projet de deux cubes d’appartements reliés par une piscine a été abandonné et remplacé par le nôtre : celui d’un bâtiment « anglo-normand » qui s’intégrait au bâti de la zone du Lac.

Il faut dire que les retards ont été dus un peu au Covid et beaucoup à des chicaneries et autres intérêts peu architecturaux qui s’en sont mêlés.
Nous avons aussi, avec un grand nombre de Rixensartois, mené campagne contre le projet plutôt monumental d’un Macdonald.
De même, nous avons refusé le projet de l’imposant « bunker » Colruyt. Colruyt nous annonce une révision à la baisse du gabarit de son bâtiment.
Une autre source d’inquiétude est l’implantation de plus en plus forte de la société Thomas & Piron.

Il y a l’ancien « Chalet » où là nous avons obtenu, dans le cadre de la commission communale, une modification du bâtiment, notamment un étage de moins. Par contre s’il y a eu des améliorations apportées au dossier de l’ancien « Hôtel de l’Yser », ils n’ont pas accepté la moindre modification d’une architecture lourde et sans grâce et c’est encore pire en ce qui concerne leur projet d’immeuble rue Collin.

Enfin, il semble que le dossier Poirier-Dieu touche à sa fin et de bonne façon.

EDITO : Michel Wautot 

«  Il faut savoir que les choses sont sans espoir et tout faire pour les changer »

Rainer Maria Rilke

Une nouvelle année bien incertaine

Nous espérions pouvoir au début de janvier vous présenter des bons vœux pleins d’optimisme, prévoyant notamment le retour à la santé grâce notamment à la vaccination.

Mais, en ce premier mois, il est bien difficile d’envoyer des formules de vœux traditionnels, car il ne se passe pas de semaines sans que quelque nouveau rebondissement, dans le tracé erratique de la pandémie, ne vienne bousculer les prévisions.

Cela dit, toute notre équipe souhaite à ses amis et à ses membres le meilleur possible tant pour eux-mêmes que leurs familles et leurs proches.

Pour nous, comme pour les autres associations, il a fallu nous adapter, c’est-à-dire privilégier la sauvegarde de la santé de chacun. Après juin, nos réunions mensuelles ont été remplacées par les contacts internet. Nos dossiers demandant, le plus souvent, la création de nombreux documents ; les allers-retours pour discussions et approbations n’ont pas été des éléments de facilité. Cette note fera la synthèse de nos activités de l’année passée.

2020 sur le plan patrimonial ne nous a pas apporté, et pas seulement à cause du Covd19, des résultats particulièrement remarquables, même si des éléments positifs ont été obtenus.

On ne peut pas dire non plus que d’une façon générale le patrimoine de demain se soit fort enrichi dans notre région. L’an passé nous attirions, déjà, l’attention sur le manque d’inspiration architecturale dans nos contrées. La vogue est de réaliser de vastes chantiers soit de cubes blancs à balcons noirs, soit des séries continues de maisons de briques rouges sans originalité. Ou alors, comme entre la E411 et la N4 à L-L-N, des parallélépipèdes noirs ou à carapaces de verre !

Quant aux capitales et métropoles, tous continents confondus, elles s’incrustent

de gratte-ciel (comme Londres) où ne prévaut, si souvent, que l’arrogance d’un bric-à-brac (parfois époustouflant) toujours plus haut mais sans la moindre harmonie.


EDITO : Michel Wautot 

«  Il faut savoir que les choses sont sans espoir et tout faire pour les changer »

Rainer Maria Rilke

 

Quels visages auront nos communes dans vingt ans ?

 

Il y a encore une quarantaine d'années on pouvait, sans passer pour un farfelu, qualifier du nom de village un certain nombre de communes du sud de Bruxelles. Il y a encore vingt ans, nous-mêmes osions toujours utiliser ce vocable qualificatif.

Aujourd'hui, les seuls à user de cette appellation sont, la plupart du temps, ceux qui auraient dû prendre garde à ce que l'extinction du mot « village » n'arrive pas. A leur décharge, dans l'ensemble de ces communes péri-urbaines, certaines ne brillaient ni par leur architecture, ni par leurs connaissances dans le domaine de l'aménagement du territoire. D'où la cacophonie architecturale de nombre de centres de communes ou de petites cités du Brabant wallon, cacophonie à laquelle s'ajoute des enseignes disparates au-dessus d'installations hétéroclites des rez-de- chaussée commerciaux.

Voulant sans doute bien faire, dans l'affolement d'une proche démo-graphie galopante, le secteur politique a pris des options, pour aménager le territoire, préconisant fortement la densification des centres urbains et la « mise au pilori » des maisons quatre façades. Ce qui favorise efficacement le secteur immobilier et permet un développement considérable de logements dans les centres sans une nécessaire cohésion. Le problème réside dans l'esprit de nombreux responsables publics pour qui, il n'y a pas ou peu de différence entre densification de ville et densification de village. Quant aux quatre façades elles culpabilisent leurs candidats bâtisseurs ou fournit l'occasion à leurs propriétaires de diviser ou d'abattre leur bien, au profit de multi-logements. Or l'intérêt et le charme d'une commune naissent de la conjonction d'un ensemble bâti où l'on retrouve une unité de matériaux et de couleurs, mais avec des détails distincts, et l'implantation d'espaces publics verdoyants.

« Genval-les Eaux » n'était pas un centre, mais c'est un bon exemple réussi d'une unité dans la diversité de l'art-nouveau et de l'art-déco. Ce qui devrait être la préoccupation des responsables de l'urbanisme c'est de prévoir leurs « centres » dans vingt ans et d'éviter de les retrouver hérissés ou de « sanatoriums » (murs blancs, châssis noirs, zinc gris patiné) ou d'un nouvel ensemble disparate n'évoquant en rien l'ambiance d'une commune hors-ville, comme on le voit souvent actuellement. « Oui, c'est bien ce que vous préconisez, mais ça coûte cher». C'est faux. Et l'informatique permet de retravailler un projet en un temps record, là où, dans le temps, il fallait plusieurs jours pour un plan.

EDITO : Michel Wautot 

«  Il faut savoir que les choses sont sans espoir et tout faire pour les changer »

Rainer Maria Rilke

1998 - 2018

 

Vingt ans ont passé depuis ce premier jour, en mars 1998, où, réunis dans la grande salle du deuxième étage de la Villa Beau-Site à Genval, nous nous demandions comment sauver cette villa Art-Nouveau, unique en Brabant wallon (architecte Paul Hamesse), et de la démolition et ou d’un futur promoteur. Nous étions une dizaine venant de tous les horizons. Nous décidâmes de créer une association de fait. En avril le bureau était constitué : Président : Michel Wautot (aménagement du territoire), Vice-présidente : Colette Pinson, (historienne), Trésorier : Roger Ghyssens, (ingénieur), tous deux du Cercle d’Histoire de Rixensart, Secrétaire : Chantal Barbay (relations publiques), Membres : Bénédicte Gilon (historienne de l’art), Caroline Lamarche (écrivain), Marc Brunfaut (architecte), Alexis Wautot (économiste).

Un mois plus tard nous avions envoyé à la Région wallonne le dossier de demande de classement de la Villa Beau-Site et nous apprenions en juillet qu’il avait reçu un accueil favorable. En 2000 la Villa était classée…

Vingt ans plus tard, lors de nos assemblées générales, sont présents les membres du Bureau actuel, mais aussi ceux des différents bureaux depuis 1998 ainsi que les membres effectifs qui nous ont rejoints au cours des années.

Je voudrais à l’occasion de ce vingtième anniversaire tous les remercier, d’abord de l’amitié qui nous lie, ensuite de leur fidélité et du travail qu’ils ont accompli et accomplissent.

Tous nos remerciements et notre vive sympathie à tous nos membres sympathisants qui nous soutiennent depuis toutes ces années.

Je voudrais surtout saluer, avec émotion, la mémoire de ceux qui nous ont quittés parfois tragiquement : Marc Brunfaut, Chantal Barbay, Guy Leroy, Albert Hautfenne.

Illustrer, défendre le Patrimoine, notre Patrimoine est notre action. Une action où nous essayons toujours de mettre tous les interlocuteurs autour de la table, où très souvent nous fédérons autour de nous d’autres associations afin d’être plus forts.

Une action très modeste, il faut en convenir, quand on voit l’immensité de la tâche. Heureusement bien d’autres organismes publics ou privés œuvrent dans le même sens. Et si notre monde présente à nouveau les symptômes dangereux de la première moitié du XXe siècle, il est aussi capable d’un sursaut

EDITO : Michel Wautot 

«  Il faut savoir que les choses sont sans espoir et tout faire pour les changer »

Rainer Maria Rilke

Depuis bientôt vingt ans que notre association existe, les actions menées suivent-elles toujours le même processus ? Rencontrons-nous toujours les mêmes réactions ?

En d’autres termes, la mentalité des acteurs principaux, maîtres d’ouvrage, maîtres d’œuvre, autorités publiques…) a-t-elle changée vis-à-vis de la notion de défense du Patrimoine ? Ou encore, la notion de Patrimoine fait-elle aussi l’objet de manipulations à l’avantage d’intérêts particuliers ?

Si on prend une certaine hauteur pour examiner le « phénomène », on ne peut dire qu’un vibrant enthousiasme est né pour le patrimoine. Nous ne parlons pas ici de la réaction très positive du public envers les journées du Patrimoine, seules journées où les arts du passé (lointain et proche) ne sont pas étouffés par la dictature de l’Art contemporain entièrement aux mains de spéculateurs, à un point tel que les richesses de l’Art contemporain, il y en a, sont noyées dans le bric-à-brac de faiseurs et de parvenus.

Cet aparté terminé, il n’y a pas un changement fondamental dans l’optique du projet du maître d’ouvrage, l’approche du maître d’œuvre et la réaction des autorités publiques. Trop souvent, la notion de Patrimoine n’apparaît pas ou est fugitive, évincée par celle de la rentabilité. Les adeptes de « l’harmonie des ensembles » sont encore bien rares.

Par contre, il nous semble que c’est du côté de la négociation qu’un changement s’est produit. Promoteurs, bureaux d’architectures, autorités communales, sont plus ouverts à l’idée de négocier pour trouver une solution lorsqu’un projet heurte par son atteinte au patrimoine émotionnel des habitants ou en raison de sa qualité. A l’inverse, il y a aussi des revendications cachées qui dissimulent des intérêts très personnels, sous le couvert de la préservation du Patrimoine.

La négociation est un art. Il faut souvent naviguer entre intérêts divergents, entre optiques parfois radicalement différentes, décrypter les intentions cachées et rendre possible une révision du projet… ce qui entraîne presque toujours un coût supplémentaire.

Sommes-nous de bons négociateurs ? Ce n’est pas à nous de le dire, mais nous nous efforçons de l’être. Ce qui est tangible, ce sont les résultats obtenus et une confiance, notamment, des autorités publiques.

 

EDITO : Michel Wautot 

«  Il faut savoir que les choses sont sans espoir et tout faire pour les changer »

Rainer Maria Rilke

 

Cette fois-ci, l'automne sonne la fin de l'été indien et celle, prochaine, de l'année 2016. Une année très contrastée comme les couleurs des feuillages.

Une année à l'image d'un monde de plus en plus irrationnel, un climat tout en extrêmes, une situation géopolitique de plus en plus compliquée et dangereuse. La prochaine décennie semble être celle de tous les dangers: l'embrasement du Moyen-Orient est loin d'être éteint et l'Europe se fissure, ayant oublié qu'elle est d'abord constituée de ses citoyens. Resurgissent les replis nationalistes, quand ce n'est pas, pour des pays comme la Russie et la Turquie, la vision de leurs empires passés et pour qui les règles morales ne comptent vraiment plus. Sans parler de la menace, toujours bien présente, de crises financières ou du choix de candidats aux plus hautes fonctions d'états clés.

Ces quelques réflexions m’ont fait souvenir d’un tableau hors du commun. Aux environs des années 1560, Pieter Breughel peignit cette toile intitulée : « Dulle Griet » ou « Margot la Folle » ou « Margot l’Enragée ».

Sur la toile les mondes de Breughel et de Bosch s’interpénètrent, et résument, en une image apocalyptique, l’éternel retour d’un monde de violences. Bien des interprétations ont été avancées car les symboles foisonnent dans cette œuvre, mais peuvent s’adapter à tous les siècles. L’interprétation, qu’en donne Bernard Bro, me semble percutante ; « C’est celle de notre angoisse, celle de notre miroir. C’est aussi celle du mouvement non contrôlé de l’humanité qui poursuit sa fuite en avant sans savoir vers quoi, mais prise par le délire de tout fabriquer, tout inventer, tout détruire, tout vendre… » 

La tâche d’une association, comme la nôtre, paraît dès lors bien dérisoire, un peu comme si nous replacions quelques briques dans une des innombrables fissures d’une muraille écroulée. Mais la conscience de cet état de choses est nécessaire, savoir notre place et nos limites, et ceci accepter, continuer notre action avec opiniâtreté. Une qualité indispensable pour assumer les délais longs (plusieurs années) qui précèdent la conclusion d’un dossier.

Le bilan de 2016, exposé dans les pages qui suivent, s’avère positif. Le dossier (2002) de la Place de Bourgeois est mis sur les rails. Celui de la Cure de Sainte-Croix (2005) est sur le point de trouver une solution. Celui de l’ancienne école des garçons de Genval (2008) est en chantier. Celui des Papeteries/phase-I (1998) est terminé. Celui des panneaux historiques (2014) est en cours.

 

 

EDITO : Michel Wautot 

«  Il faut savoir que les choses sont sans espoir et tout faire pour les changer »

Rainer Maria Rilke

 

 

A la veille des grandes vacances, nous avons l'impression, même si nous ne partons pas, de déposer, pour un temps, un sac à dos rempli de rumeurs du monde et qui, de mois en mois, devient plus lourd. La vague de plus en plus puissante de l'information nous submerge et comme la part belle est faite aux "mauvaises nouvelles", elles prennent le pas sur les autres.

Lire la suite : Juin 2015

 

 

EDITO : Michel Wautot 

«  Il faut savoir que les choses sont sans espoir et tout faire pour les changer »

Rainer Maria Rilke

 

Dans les médias qui semblent se complaire, trop souvent, dans le fracas des relations, des images, des dialogues où le thème de la désespérance de la condition humaine est le principal sujet, il n’y a pas ou peu de place où les citoyens, que nous sommes, peuvent sentir une brise avec un petit goût de bonheur leur annoncer que tout ne va pas si mal.

Lire la suite : Juin 2014

 

EDITO : Michel Wautot 

«  Il faut savoir que les choses sont sans espoir et tout faire pour les changer »

Rainer Maria Rilke

Doit-on se réjouir du programme d’organismes culturels, qui mettent au premier plan « la sensibilisation à l’art contemporain » où, et c’est là où le bât blesse, sont exaltés même les médiocres, sous peine de passer pour attardé ?

Doit-on se réjouir de ce que les émissions et revues émanant des instances officielles ne proposent, trop souvent, qu’un environnement qui vous plonge dans une ambiance de chambre froide ?

Doit-on se réjouir de la multiplication des gadgets électroniques, qui ligotent jeunes et adultes dans un « esclavage » sournois mais bien réel ?

Chacun aura une réponse ou sa réponse.

Lire la suite : Octobre 2013

 

EDITO : Michel Wautot 

«  Il faut savoir que les choses sont sans espoir et tout faire pour les changer »

Rainer Maria Rilke

Un des livres majeurs du XXe siècle, paru en 1932, est certainement « Le Meilleur des Mondes » d’Aldous Huxley. Sous les dehors d’un récit d’anticipation, Huxley nous projette dans une société, à laquelle la nôtre ressemble de plus en plus et qui peut se résumer par la servitude et la manipulation des hommes au profit d’un pouvoir tout puissant.

 

Lire la suite : Janvier 2012

EDITO : Michel Wautot 

«  Il faut savoir que les choses sont sans espoir et tout faire pour les changer »

Rainer Maria Rilke

Il y a des années comme ça, où tout semble devoir continuer comme l’année précédente. Puis soudain les choses basculent.

Les dossiers suivis par l’association sont presque toujours de longue durée, rien n’étant simple quand se mêlent secteur privé et secteur public.

Lire la suite : Juin 2011

EDITO : Michel Wautot 

«  Il faut savoir que les choses sont sans espoir et tout faire pour les changer »

Rainer Maria Rilke

Lorsque fut fondée l’association, nous avions l’idée bien précise qu’il était fondamental de lier la dignité des hommes à la noblesse du patrimoine. Le respect de l’une ne va pas sans le respect de l’autre. Dans ce bulletin nous consacrons, exceptionnellement, des articles à la facette « hommes » de notre association.

Lire la suite : Novembre 2009

EDITO : Michel Wautot 

“ Il faut savoir que les choses sont sans espoir et tout faire pour les changer”
Rainer Maria Rilke

Maurice Béjart disait : « Le drame de l’époque consiste à faire croire aux gens qu’en multipliant leurs besoins on augmente leur joie. En réalité on augmente leurs souffrances, on augmente leurs attaches. La seule issue pour le monde actuel, c’est non la privation, je n’aime pas ce mot là, mais c’est la joie dans le dépouillement ». Se pourrait-il que l’écroulement du monde financier, ce veau d’or jeté à terre, soit le prélude à une nouvelle vision du monde ?

Lire la suite : Mars 2009

EDITO Michel Wautot
« Il faut savoir que les choses sont sans espoir et tout faire pour les changer »

Reiner Maria Rilke

Notre monde est pareil aux deltas des grands fleuves sans cesse changeants. Là où il y avait une île coule un bras du fleuve. Là où passaient les barques émerge un banc de sable où se réfugient de grands oiseaux. Et l’île qui nous paraissait inaccessible s’atteint à pied sec.

Cette Note sera, à son échelle, le reflet de cette situation dans ce domaine, que nous sommes quelques-uns à aimer : l’histoire et l’avenir des hommes à travers leur patrimoine.

Lire la suite : Juin 2007